AGAPES & AVENTURES Se laisser porter et se laisser surprendre. "Il n'y a pas de hasard, mais des rencontres." Voir aussi LES LETTRES DE PASCAL K leslettresdepascalk.blogspot.com
31 mai 2017
A LA TABLE DES GAULOIS DANS LE MORVAN
Les Gaulois écrivaient peu. Ils n'ont pas légué de recueils de recettes culinaires. Pourtant du côté de Château-Chinon en Bourgogne - Franche-Comté, Le Chaudron de Bibracte à Saint-Léger-sous-Beuvray (71) nous initie à la cuisine de Vercingétorix.
A l'entrée du Parc naturel régional du Morvan, le mont Beuvray. Sur sa partie sommitale, les vestiges de l'oppidum Bibracte, capitale fortifiée du peuple gaulois des Eduens. Tout à côté du musée archéologique dédié au lieu, Le Chaudron offre une salle de restauration de soixante couverts. Mais ce n'est pas une table comme une autre. L'ancien point d'information touristique permet de partager une expérience originale en profitant d'une offre complète entrée au musée - repas - visite guidée. En phase avec le site et son riche passé, le visiteur peut se sustenter de plats inspirés de la gastronomie de la fin de l'âge de fer. Un menu unique pour la saison, à base de légumineuses (salade de pois cassés) en entrée, orge et épinards en accompagnement de la joue de bœuf en plat, faisselle et gougère au pruneau (le miel pour sucrer) en clôture.
Le cliché du sanglier est une idée reçue. Le cochon sauvage n'était pas commun dans l'écuelle des Eduens, rapportent les scientifiques. La gougère tiens. Clin d’œil à la Bourgogne, avec les ingrédients dont on disposait déjà jadis, justifie-t-on.
Déjeuner à la bière
Pour la boisson, ce sera la Cervoise. Les Gaulois n'avaient pas le vin, importé par les Romains, mais s'adonnaient à une sorte de bière à base d'orge, la cervoise, leur boisson favorite. Pour Le Chaudron, une brasserie artisanale roannaise, Brasseurs du Sornin, produit quatre bières chaque année, dont une nouvelle. La rousse des bosquets est aromatisée à la noisette, la blonde des collines à la sarriette, l'ambrée des taillis à l'églantine. Il va sans dire que ces mets et ces breuvages se dégustent dans la vaisselle appropriée : gobelet et écuelles en terre cuite, cuiller en bois et couteau de fer. Le déjeuner s'apprécie assis à une table basse.
Il est plaisant à défaut de marquer la mémoire gustative. Du reste, on ne vient pas faire du tourisme en haute cuisine.
Manger à la manière des Eduens, mais dans un cadre moderne, sobre et minéral, dans l'esprit du magnifique ensemble architectural de Pierre-Louis Faloci qui a aussi dessiné celui du Struthof.
Le Chaudron de Bibracte est ouvert les dimanches et jours fériés et pendant les vacances scolaires à midi.
Le mercredi soir du 12 juillet au 30 août.
Il convient de réserver au 03.85.86.52.40
<3 <3
A l'entrée du Parc naturel régional du Morvan, le mont Beuvray. Sur sa partie sommitale, les vestiges de l'oppidum Bibracte, capitale fortifiée du peuple gaulois des Eduens. Tout à côté du musée archéologique dédié au lieu, Le Chaudron offre une salle de restauration de soixante couverts. Mais ce n'est pas une table comme une autre. L'ancien point d'information touristique permet de partager une expérience originale en profitant d'une offre complète entrée au musée - repas - visite guidée. En phase avec le site et son riche passé, le visiteur peut se sustenter de plats inspirés de la gastronomie de la fin de l'âge de fer. Un menu unique pour la saison, à base de légumineuses (salade de pois cassés) en entrée, orge et épinards en accompagnement de la joue de bœuf en plat, faisselle et gougère au pruneau (le miel pour sucrer) en clôture.
Le cliché du sanglier est une idée reçue. Le cochon sauvage n'était pas commun dans l'écuelle des Eduens, rapportent les scientifiques. La gougère tiens. Clin d’œil à la Bourgogne, avec les ingrédients dont on disposait déjà jadis, justifie-t-on.
Déjeuner à la bière
Pour la boisson, ce sera la Cervoise. Les Gaulois n'avaient pas le vin, importé par les Romains, mais s'adonnaient à une sorte de bière à base d'orge, la cervoise, leur boisson favorite. Pour Le Chaudron, une brasserie artisanale roannaise, Brasseurs du Sornin, produit quatre bières chaque année, dont une nouvelle. La rousse des bosquets est aromatisée à la noisette, la blonde des collines à la sarriette, l'ambrée des taillis à l'églantine. Il va sans dire que ces mets et ces breuvages se dégustent dans la vaisselle appropriée : gobelet et écuelles en terre cuite, cuiller en bois et couteau de fer. Le déjeuner s'apprécie assis à une table basse.
Il est plaisant à défaut de marquer la mémoire gustative. Du reste, on ne vient pas faire du tourisme en haute cuisine.
Manger à la manière des Eduens, mais dans un cadre moderne, sobre et minéral, dans l'esprit du magnifique ensemble architectural de Pierre-Louis Faloci qui a aussi dessiné celui du Struthof.
Le Chaudron de Bibracte est ouvert les dimanches et jours fériés et pendant les vacances scolaires à midi.
Le mercredi soir du 12 juillet au 30 août.
Il convient de réserver au 03.85.86.52.40
<3 <3
29 mai 2017
Le jour d'après
Voilà un jour que j’occupe seul la maison vide
Il pleut sur Bangkok
une averse pleure sur Altkirch
Tu es dans une chambre d’hôtel moi dans notre nid
Il pleuvait aussi à notre départ de Ban Paeng
Les oiseaux de mai chantent le printemps
J’écoute le silence pour retrouver ta voix au timbre long
La cuisine n’exhale aucun fumet les parfums de Thaïlande se sont dissipés
Les lumières du bal improvisé sont éteintes
Toutes les pièces de l’appartement sont rangées
Le jardin d’été en sommeil
Les lys s’épanouissent mais les fleurs de nos jours
finissent
La Brigantine est comme une table hors saison
C’est sur l’oreiller qu’enfin je retrouve ta fragrance
Emmène –moi mon Amour
Pascal Kury
29 mai 2017
PINNACLE HOTEL PATTAYA
Le soir s'empare de cette baie de Thaïlande
Face à mon balcon
Un immeuble de grande hauteur s'échappe
Derrière une végétation luxuriante
Les oiseaux se donnent la réplique
A moins de cent mètres le doux chant de la mer
Et la complainte d'un jazzman
La chaleur et la moiteur accablent nos corps
Devenus nonchalants et peu vêtus
Le temps passe
Il semble pourtant figé ou ralenti
Pesanteur extérieure
Réfrigération intérieure
Écouter la musique de cette nature
Investie par l'hôtellerie de standing
Oublier hier
Ne pas envisager demain
S'assoupir
Partir
04 août 2016 Pattaya Thaïlande
27 mai 2017
UN TRAIN - MANEGE QUI EMBALLE MULHOUSE
Une nouvelle attraction qui va faire sensation à la Cité du Train : le manège de Sambaldur-sur-Mou est désormais remonté. En voiture !
Le dernier véritable train forain de France a échappé de justesse au chalumeau du ferrailleur. En 2014, la petite nièce d'un industriel forain suppliait le directeur du plus grand musée ferroviaire d'Europe de sauver le métier de Zilda Clément. Ce génie de la mécanique décédé dans la force de l'âge en 1954 était, comme son père, horloger l'hiver et sur la route l'été. Après la guerre, il avait racheté un train d'occasion mais en si mauvais état qu'il décida d'en construire un nouveau, avec son fils Lynel. Ainsi naquit le train de Sambaldur-sur-Mou, gare fictive et fantaisiste ( "ça emballe dur") mais probablement inspirée d'un bâtiment réel.
Après des décennies de rotation, le manège artisanal finit par tomber dans l'oubli. Remisé dans deux camions et autant de remorques, sur un terrain proche de Perpignan. Or voilà que la petite nièce fut mise en demeure de quitter la place. La Cité du Train, son directeur Sylvain Vernerey et son wagon de bénévoles passionnés sauront se mobiliser pour remettre cette pièce unique sur les rails.
Sauf qu'il a fallu tout remonter méticuleusement avant la remise en marche. Un travail incroyable, car l'inventeur n'avait laissé aucune notice, mais chaque composant numéroté... Les amis du musée français du chemin de fer présents ce jour s'enthousiasment devant la rame métallique entraînée par une motrice pétaradante. Aux manettes, Michel Holterbach, ancien mécanicien auto, tout heureux de retrouver un moteur de Ford T de 1908. Le conducteur retraité de TGV se félicite aussi de l’œuvre visionnaire de Clément, avec le bogie intermédiaire, utilisé sur les trains à grande vitesse.
Le petit train de Sambaldur a été posé avec sa gare à tunnel dans l'aire extérieure. Qu'importe le bruit, pourvu qu'on n'ait pas la vitesse !
www.citedutrain.com
Le dernier véritable train forain de France a échappé de justesse au chalumeau du ferrailleur. En 2014, la petite nièce d'un industriel forain suppliait le directeur du plus grand musée ferroviaire d'Europe de sauver le métier de Zilda Clément. Ce génie de la mécanique décédé dans la force de l'âge en 1954 était, comme son père, horloger l'hiver et sur la route l'été. Après la guerre, il avait racheté un train d'occasion mais en si mauvais état qu'il décida d'en construire un nouveau, avec son fils Lynel. Ainsi naquit le train de Sambaldur-sur-Mou, gare fictive et fantaisiste ( "ça emballe dur") mais probablement inspirée d'un bâtiment réel.
Après des décennies de rotation, le manège artisanal finit par tomber dans l'oubli. Remisé dans deux camions et autant de remorques, sur un terrain proche de Perpignan. Or voilà que la petite nièce fut mise en demeure de quitter la place. La Cité du Train, son directeur Sylvain Vernerey et son wagon de bénévoles passionnés sauront se mobiliser pour remettre cette pièce unique sur les rails.
Sauf qu'il a fallu tout remonter méticuleusement avant la remise en marche. Un travail incroyable, car l'inventeur n'avait laissé aucune notice, mais chaque composant numéroté... Les amis du musée français du chemin de fer présents ce jour s'enthousiasment devant la rame métallique entraînée par une motrice pétaradante. Aux manettes, Michel Holterbach, ancien mécanicien auto, tout heureux de retrouver un moteur de Ford T de 1908. Le conducteur retraité de TGV se félicite aussi de l’œuvre visionnaire de Clément, avec le bogie intermédiaire, utilisé sur les trains à grande vitesse.
Le petit train de Sambaldur a été posé avec sa gare à tunnel dans l'aire extérieure. Qu'importe le bruit, pourvu qu'on n'ait pas la vitesse !
www.citedutrain.com
22 mai 2017
LES MULHOUSIENNES REMETTENT LES PATIENTES EN SELLE
La 4e édition des Mulhousiennes se courra le 24 septembre. D'année en année, le contingent grossit, de coureuses, marcheuses et supporters.
L'association a inauguré le 19 mai le matériel de ré-entraînement physique et de pressothérapie, ainsi que la rénovation des locaux qu'elle a financés à l'hôpital Emile-Muller. L'automne dernier, 45.000 € avaient été remis à CAP'Forme, Cancer Activités Physiques. Il s'agit d'un programme d'activités adaptées aux patients atteints d'un cancer, dispensé à Mulhouse depuis 2014.
Les matériels acquis permettront d'équiper aussi deux autres sites du GHRMSA, le SSR d'oncologie à Thann et la clinique des Trois-Frontières à Saint-Louis.
"La maladie n'est pas une fatalité", a-t-on rappelé à l'inauguration. Une activité physique réduit la fatigue, l'anxiété, la dépression. Elle améliore la qualité du sommeil, l'image et l'estime de soi.
Par ailleurs, un certain nombre d'opérées d'un cancer du sein subissent encore un lymphœdème du membre supérieur, le gros bras. Le matériel du GHRMSA lutte contre cette affection traumatisante.
Les locaux du gymnase hospitalier ont été rafraîchis par deux entreprises, Sondenecker et LM+ Architecture, elles aussi investies aux côtés des Mulhousiennes.
L'association a inauguré le 19 mai le matériel de ré-entraînement physique et de pressothérapie, ainsi que la rénovation des locaux qu'elle a financés à l'hôpital Emile-Muller. L'automne dernier, 45.000 € avaient été remis à CAP'Forme, Cancer Activités Physiques. Il s'agit d'un programme d'activités adaptées aux patients atteints d'un cancer, dispensé à Mulhouse depuis 2014.
Les matériels acquis permettront d'équiper aussi deux autres sites du GHRMSA, le SSR d'oncologie à Thann et la clinique des Trois-Frontières à Saint-Louis.
"La maladie n'est pas une fatalité", a-t-on rappelé à l'inauguration. Une activité physique réduit la fatigue, l'anxiété, la dépression. Elle améliore la qualité du sommeil, l'image et l'estime de soi.
Par ailleurs, un certain nombre d'opérées d'un cancer du sein subissent encore un lymphœdème du membre supérieur, le gros bras. Le matériel du GHRMSA lutte contre cette affection traumatisante.
Les locaux du gymnase hospitalier ont été rafraîchis par deux entreprises, Sondenecker et LM+ Architecture, elles aussi investies aux côtés des Mulhousiennes.
16 mai 2017
MYSTERES ET MUSEES
Le 20 mai 2017 a lieu la Nuit européenne des Musées. Dans l'agglomération mulhousienne on parle depuis plus de dix ans de la Nuit des Mystères.

Bernadette Groff et Olivier Ianonne présentent la 12e Nuit des Mystères

Depuis 2006, Mulhouse s'est démarquée avec sa chasse aux trésors, plébiscitée par le public et les médias. 28.500 participants l'an dernier, 32.000 au plus fort en 2012. De 14 H à minuit pour les plus courageux, les mordus d'énigmes seront embarqués dans un voyage autour du monde. L'équipe déclarée gagnante ira en Thaïlande pour de vrai.
Moyennant un passeport acquis pour 6€, sésame pour 4 personnes dans les musées participant, les équipes démarreront leur périple avec une lettre d'aventures. Deux parcours au choix leur seront imposés, dont un familial.
Ce grand terrain de jeu encadré par une centaine de bénévoles vous fera parcourir une dizaine de sites, de la Cité de l'Auto - coll. Schlumpf au Parc de Wesserling, du musée historique de Mulhouse à la Grange à Bécanes de Bantzenheim, nouveau partenaire. En 2016, plus de 300 équipes étaient arrivées au bout du parcours d'aventures. L'objectif étant de faire revenir le public dans le pôle muséographique sud-alsacien.
La 12e Nuit des Mystères samedi 20 mai dans la région mulhousienne.
www.musees-mulhouse.fr
15 mai 2017
SUR LA ROUTE DE LA POTASSE
La cigogne, le m de l'agglomération mulhousienne, la tête d'un mineur : voilà le logo de la Route de la Potasse, inaugurée le 14 mai par les élus de M2A (Mulhouse Alsace Agglomération).
L'aventure de la potasse d'Alsace a duré un siècle, du premier forage à Wittelsheim à l'incendie de Stocamine. Elle a profondément transformé le paysage de la vie économique et sociale du bassin mulhousien.
La Route de la Potasse est le fruit d'un projet initié par les associations de sauvegarde des carreaux Joseph-Else, Rodolphe et Théodore. Il s'agit d'un itinéraire touristique de 18 km proposé par la communauté d'agglomération. Il permet de découvrir des sites remarquables, des cités minières et des lieux emblématiques qui ont fait le Bassin potassique : outre les carreaux, la salle Grassegert, le stade ASCA, l'école Mélusine, l'église Ste-Barbe etc. Quatre communes sont investies : Wittelsheim, Staffelfelden, Pulversheim et Wittenheim.
L'OTC de Mulhouse Sud Alsace organise des excursions sur la Route de la Potasse les 20 mai et 12 juillet. Et des demi-journées les 16 juin et 16 août.
www.mulhouse-alsace.fr .
Devant l’imposant chevalement en béton Rodolphe II, une
dizaine de véhicules de couleur sombre ou au contraire vive est disposée en arc
de cercle. Des moteurs ronronnent. Au volant ou devant, d’anciens mineurs,
casque vissé sur la tête, prennent la pose. Ils attendent la délégation
d’officiels qui ce matin ouvre la route de la potasse. Thierry Vogel et Patrick
Vonthron me font la conversation. Mineurs retraités, les deux camarades ont un
autre point commun : ils ont commencé au fond le même jour, le 17 novembre
1980. Thierry se souvient des nausées de son baptême et des recommandations d’accueil.
Le porion lui avait prédit trois accidents dans sa vie, dont un grave. Plus de
800 mineurs ont laissé la vie aux MDPA pendant le siècle de la potasse. Une
stèle honore leur mémoire à Wittenheim. « Dans la galerie, on était comme
un rat », expliquent mes interlocuteurs, qui énoncent les conditions
inhumaines des forçats du sel, à plusieurs centaines de mètres sous terre.
L’atmosphère particulière, l’absence de visibilité, la fournaise…Par 50°C, les
chaussures se remplissaient de sueur et l’organisme devait ingurgiter des
litres d’eau pendant le service. Contre les crampes de chaleur, l’ouvrier prenait
des pilules de sel.
L’exploitation de Rodolphe cessa en juillet 1976. 8 ans plus
tard, les puits 1 et 2 étaient remblayés. Dans leurs entrailles de nombreux
matériels ont été abandonnés à jamais, avec des décennies d’histoire. Les
véhicules présentés en surface par les bénévoles du Groupe Rodolphe sont une
infime partie de la flotte d’exploitation. Deutz, Renault, Perkins, Hispano
Suiza, Perkins, SACM…Les mécaniciens d’hier énoncent les motoristes et
constructeurs de ces engins sur pneus, rails et chenilles qu’ils avaient à
entretenir. Dans les galeries, il fallait se muer en feuille de papier quand
passait le chargeur Wagner… Ces souvenirs, seuls les anciens peuvent les
raconter. Les Rodolphe se retrouvent le mercredi pour maintenir leurs véhicules
en état de marche, tant bien que mal car les pièces détachées n’existent plus.
L’association revendique plus de 400 membres, dont une quarantaine d’actifs.
Ceux-là accueillent le public pour les visites commentées, notamment des
machines d’extraction restaurées et fonctionnelles. Chaque année, des milliers
de personnes se rendent à Pulversheim/Ungersheim à l’ombre du grand ensemble
minier presque complet.
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