20 juillet 2023

LE 14 JUILLET CHEZ L'AMI BAREISS





Tandis que la France tentait de se réconcilier après les émeutes, mais que le président Macron écartait l'interview propre à ce jour, nous avons cette année encore pris la route de la Forêt-Noire pour fêter le 14 Juillet avec la famille Bareiss. 





Une table triplement étoilée par Michelin "vaut le voyage". Près de 190 kilomètres ne seront pas de trop pour prendre place à celle de Claus-Peter Lumpp, qui officie au Bareiss, le resort *****S du Schwarzwald. Il n'est pas de ces chefs médiatiques mais il est au firmament avec ses 3 macarons dans un territoire qui les collectionne. 




Hermann Bareiss est un francophile et un européen passionné. Depuis un quart de siècle, le grand hôtelier donne à Baiersbronn la garden party franco-allemande événementielle. On se souvient du bonheur partagé l'an dernier pour les retrouvailles d'après-Covid. Cette année résonne encore plus fort sous le sceau de l'amitié franco-allemande, avec le 60e anniversaire du Traité de l'Elysée. Alors la famille Bareiss a réuni un parterre de convives pour lever la flûte de champagne Taittinger dont la cuvée porte son nom. 300 hôtes ce 14 juillet, dont de nombreux voisins du Grand Est autour de sa préfète Josiane Chevalier. et de l'incroyable Yolande Haag, la grande dame de Meteor, chapeautée avec élégance pour l'occasion. Avec Hermann Bareiss, cette entrepreneure hors pair s'est retrouvée dans les valeurs du resort : "travailler, aimer, partager". Les deux patrons n'auront eu de cesse dans leur longue vie professionnelle de s'employer à "rendre leurs clients heureux". Au Bareiss, depuis 72 ans. La petite pension d'Hermine est devenue le paquebot de l'industrie hôtelière de luxe dans la région, avec ses 300 collaborateurs. 






Si "manger et boire est la plus belle chose", alors oui nous nous émerveillons toujours dans ce paradis de la gastronomie où l'art de vivre à la française s'exprime dans les parfums de cette Forêt-Noire chérie des Alsaciens.






#bareiss

 

18 juillet 2023

PRIMARK IMPRIME SON STYLE PORTE JEUNE





8h45 ce 18 juillet. Le commerce mulhousien va s'éveiller.
A Porte Jeune, les polices et les sociétés de surveillance sont positionnées. L'événement commercial de l'été est imminent : Primark ouvre ses portes ce matin!




Le directeur du nouveau magasin prend brièvement la parole pour rendre hommage à sa "seconde famille, une entreprise humble, moderne, inclusive". 80% des 120 salariés recrutés pour cette ouverture n'avaient pas d'emploi ou étaient dans leur premier job, confirme Christine Loizy, directrice générale France. La Lyonnaise porte son seul prénom sur son badge, au dessus de sa fonction. Elle emmène la presse en compagnie de Lugdivine, directrice commerciale, dans les espaces de vente pour un rapide tour. Primark, créé par le défunt Arthur Ryan en 1969, promet de rendre accessible la mode à tous ses fans, s'adressant à une clientèle fashion mais qui n'a pas les moyens. Lugdivine porte la veste d'un tailleur à 40 €. Pour 17 €, on peut acheter le short haut de gamme Primark. Tout est étiqueté maison, à l'exception des licences dont Barbie, Mickey et Stitch. L'enseigne irlandaise habille la famille, essentiellement la femme et l'enfant, la grossesse, mais propose aussi la bagagerie, la parfumerie, le maquillage, les accessoires. 




Tandis que devant le centre commercial une poignée de militants dénoncent la fast fashion, Christine Loizy vante les valeurs de sa chaîne, dont le programme Primark Cares pour une agriculture durable sans pesticides. L'entreprise sait la pression mondiale et s'engage à diviser son empreinte carbone par deux d'ici à 2030. 

Le personnel -jeune- agite ses petits drapeaux bleus et s'échauffe pour accueillir les premiers clients qui forment déjà une longue queue, alors que les allocutions s'enchaînent. Philippe Trimaille, l'adjoint au maire en charge du commerce, sera trop long mais résumera le montage complexe de l'implantation de Primark à Mulhouse, où tout ramène au textile. Frédéric Merlin, de la SGM propriétaire des lieux, dira sa conviction du retour en force du commerce de centre-ville.




Primark est arrivé à Marseille il y a dix ans. Porte d'entrée de son aventure française. Aujourd'hui, c'est Mulhouse sur un seul niveau certes mais 3200 m2 et 12 M€ d'investissements. La force de la marque est le volume.
Pour le confort de son nombreux public, 45 cabines d'essayage et 24 caisses sont disponibles. Le temps, c'est aussi de l'argent.